Je marche sur le GR de 8h20 à
11h20.
A la sortie du village, le sentier domine d’abord la D13 et quelques hameaux, chemine auprès d’un patrimoine bâti remarquable où les terrasses appelées bancels ou faïsses sont aménagées à proximité des habitations, permettant les cultures et les vergers dans ces fortes pentes caractéristiques des Cévennes.
A la sortie du village, le sentier domine d’abord la D13 et quelques hameaux, chemine auprès d’un patrimoine bâti remarquable où les terrasses appelées bancels ou faïsses sont aménagées à proximité des habitations, permettant les cultures et les vergers dans ces fortes pentes caractéristiques des Cévennes.
Boissons et confitures sont
proposées aux marcheurs, le tout basé sur l’à-priori de la confiance avec une
indication de prix.
Je rejoins la D984, plus fréquentée.
C’est là que j’aperçois, arrivant en face de moi, une famille randonnant avec deux ânes. Depuis mon départ
sur le GR 70, c’est la première fois que j’en rencontre ! Il faut dire que
jusqu’à présent je marchais hors saison seul, la plupart du temps.
L’itinéraire se poursuit sur
route pendant quelques kilomètres dans la vallée, traversant un cours d’eau
complètement asséché par le réchauffement climatique. Seuls quelques trous
d’eau permettent encore aux poissons de survivre.
Un sentier me mène ensuite à l’entrée de Saint-Etienne-Vallée-Française où je retrouve Viviane. Nous mangeons, garés sur un pré, puis je fais une petite sieste.
Un sentier me mène ensuite à l’entrée de Saint-Etienne-Vallée-Française où je retrouve Viviane. Nous mangeons, garés sur un pré, puis je fais une petite sieste.
Par la suite, vers 14h, nous nous
rendons au camping Le Martinet, au hameau suivant. Camping agréable, quasiment
désert.
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