A la sortie de L’Estampe, la
route D120 qui mène au Bleymard est fermée à la circulation. Pas étonnant, me
dit une femme qui promène ses trois chiens fantasques (ceux d’hier) : la
neige et les chutes d’arbres ont nécessité cette interdiction.
Le sentier coupe un large lacet de la route et s’élève dans la forêt domaniale du Goulet. Et de fait, la progression se complique par la présence de neige plus importante et d’innombrables arbres couchés en travers du chemin qu’il faut enjamber ou contourner : des chablis (arbres déracinés) ou des volis (arbres cassés net).
Le sentier coupe un large lacet de la route et s’élève dans la forêt domaniale du Goulet. Et de fait, la progression se complique par la présence de neige plus importante et d’innombrables arbres couchés en travers du chemin qu’il faut enjamber ou contourner : des chablis (arbres déracinés) ou des volis (arbres cassés net).
Je rencontre à nouveau la femme
et ses chiens qui ont effectué une boucle en forêt. Je rejoins la route qui
effectivement n’est par endroit pas dégagée et difficilement praticable. J’atteins
une crête à 1413 m, le carrefour Guy Cubizolle. Une large piste s’abaisse sur
l’autre versant et se transforme en un chemin qui dévale la pente jusqu’aux
ruines de Serreméjean. Nouvelle grimpée pour rejoindre la draille des Mulets,
puis descente à proximité de la source du Lot dans une zone de tourbières.
Je traverse des landes à genêts le long de la rivière naissante et je débouche sur Les Alpiers à 12h50.
Dans l’après-midi, une demi-heure de marche supplémentaire me mène à l’entrée du Bleymard, bourgade à 1069 m au pied du mont Lozère.
Je traverse des landes à genêts le long de la rivière naissante et je débouche sur Les Alpiers à 12h50.
Dans l’après-midi, une demi-heure de marche supplémentaire me mène à l’entrée du Bleymard, bourgade à 1069 m au pied du mont Lozère.
Par
la suite, nous roulons jusqu’à Mende où
nous trouvons vers 16h un camping ouvert à cette saison, le seul de la région.
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