Une
variante se dirige vers la vallée de la Dordogne. Le GR 652, lui, s’engage vers le
sud-ouest à l’intérieur du causse. Je chemine avec Oscar au départ de Loubressac entre des murets de pierres
calcaires, dans des étendues rocailleuses à la végétation de genévriers et
petits chênes.
Après
la croix Hélène, on pénètre dans le parc naturel régional des Causses du Quercy
pour une brève incursion. A une croisée de chemins, une variante de 500 mètres nous mène au gouffre
de Padirac.
Viviane
nous y attend. Il est 11h30. Nous nous installons sur une prairie aux abords du
parking public. Viviane, toujours aussi claustrophobe, va m’attendre ici
pendant que je visite le gouffre.
Les causses du Quercy sont de parfaits exemples de relief karstique. Les grottes et les avens y sont légion. L'exemple le plus connu en est le gouffre de Padirac, une curiosité géologique française. Il s'agit d'un puits naturel provoqué par l'effondrement de la voûte d'une immense grotte.
Site
payant et très touristique. Ascenseurs prévus pour qui ne veut pas remonter à
pied. A 103 m
de profondeur, on y fait une balade en barque plate sur une rivière
souterraine. Puis l’on visite à pied la salle des Grands Gours et la salle du
Grand Dôme où la rivière s’ouvre en une série de bassins créés par les
concrétions. La rivière poursuit son cours ténébreux sous terre pendant que
l’on remonte vers l’embarcadère. Inévitable photo, au retour sur la barque,
toujours au même endroit, payante bien sûr si l’on veut la récupérer. Je
rejoins la surface (à pied) pour 13h.
Entre-temps, nombre de camping-cars se sont installés. Nous mangeons dans le Boxer
sur la prairie.
Je
rejoins seul le GR qui s’éloigne vers le nord, quitte bientôt le parc naturel
régional et se poursuit sur le plateau à une altitude à peu près constante (362 m au Pech Nègre). Je
rattrape la variante en provenance de Loubressac sur une petite route qui longe
le causse, dominant la vallée de la Dordogne.
Bientôt le parcours s’abaisse versla
vallée. Au hameau de Taillefer, balcon sur la Dordogne , je rencontre un
collègue du comité départemental de la Randonnée Pédestre
de Corrèze.
Le GR descend par un chemin creux jusqu’à la route qui bordela Dordogne. Pendant
un bref moment, on retrouve une végétation de forêt claire humide : l’ail des ours commence à pousser, embaume le sous-bois de son odeur caractéristique.
Mais le sentier ne s’y attarde pas et attaque une remontée sur le flanc du
plateau. J’atteins Magnagues, un village perché sur le rebord du causse.
Je retrouve Viviane et Oscar au centre du village.
Bientôt le parcours s’abaisse vers
Le GR descend par un chemin creux jusqu’à la route qui borde
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